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Roses, Clematis and Peonies
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'R. multiflora platyphylla' rose References
Website/Catalog  (1985)  Page(s) 41.  
 

Rosa multiflora platyphylla..... 20 x 10’.

Website/Catalog  (1982)  Page(s) 34.  
 

Rosa multiflora platyphylla (Hybrid multiflora) ‘Seven Sisters Rose’. A free-growing rambler with trusses of sweetly-scented blooms varying in shade from dark lilac-pink to white.  Probably an old Chinese variety. Int. 1816. T. Shade tolerant. N. (S) 30 feet plus.

Book  (1978)  Page(s) 154.  
 
R. multiflora platyphylla Climber   Pink   Summer    P2   H1 
Famous for its romantic name, the Seven Sisters Rose. It is an intrusive plant, with thick canes and large leaves, wrinkled and coarse; it grows with vigour, gets mildew, and bears  huge trusses of small flowers. Their colour is inconsistent, from light to deep pink, with a suggestion of lilac. It looks a greedy rose to me, and grows fast until late in the season, so that its unripened wood may fall victim to the frost. It was a cultivated rose in China, and came to London in 1815. The varietal name refers to its broad leaves
Book  (1936)  Page(s) 318, 661.  
 
p. 338: Grevillii (multiflora) Laffay ca. 1830; soft pink to white, very small, single to semi-double, black prickles, narrow, downy foliage, slim branches, growth 5/10, climbing. = Rose de Gréville; Seven Sisters.

p. 661: Seven Sisters (multiflora) ? ? ; soft pink to deep pink, medium size, semi-double, large clusters, climbing habit. = Grevillii; R. multifl. platyphylla Thory. Seed parent of Crimson Rambler? Sangerhausen
Book  (1933)  Page(s) 25.  
 
It is presumed, upon aothority of E. H. Wilson, V.M.H., late keeper of the Arnold Arboretum, that R. multiflora cathayensis is the prototype of a garden variety discovered in China, known as R. multiflora platyphylla, which was brought into Europe early in the last century and introduced under the name of Grevillea or Seeven Sisters Rose.
Book  (19 Oct 1910)  Page(s) Vol. 1, Part II, p. 29-30.  
 
7— ROSA MULTIFLORA, var. PLATYPHYLLA Thory
Rosa multiflora , var. platyphylla : a typo recedit habitu robustiori ; foliis majoribus ; floribus plenis, rubris.
R. multiflora , var. platyphylla Thory in Redouté, Roses, vol. ii. p. 69, t. (1821). — Lindley in Bot. Reg. vol. xvi. t. 1372 (1830). — Franchet & Savatier, Enum . Pl. Jap. vol. i. p. 134 (1874). — Crepin in Bull. Soc. Bot. Belg. vol. xxv. pt. 2, p. 188 (1886). — Rehder in Bailey, Cycl. Am. Hort. vol. iv. p. 1549 (1902). — C. K. Schneider, III. Handbuch Laubholzk. vol. i. p. 540 (1906).
R. Thoryi Trattinnick, Ros. Monogr. vol. i. p. 85 (1823).

Stem reaching a height of 10-12 feet or more; prickles scattered, uniform, stout, hooked. Leaflets 5-7, oblong, acute, 1½-2. in. long, simply serrated, pubescent beneath ; petioles pubescent, ad culate and glandular ; stipules adnate, laciniated. Flowers many, in a corymbose panicle, double, red.

This variety of Rosa multiflora was introduced into England some time between 1815 and 1817. Noisette saw it growing in a nursery-garden near London and took back a plant with him to France, where it flowered in his garden in September 1819. Redouté’s drawing and Thory’ s description were based upon this plant. The plate in the Botanical Register was from a plant growing in the Horticultural Society’s garden at Chiswick in 1830, where Lindley describes it as flowering in the most luxuriant manner and refers to it as the most beautiful of all the climbing Roses of our gardens. Loudon gives an excellent woodcut in his Arboretum1 and says : “A plant of this variety, on the gable end of Mr. Donald’s house, in the Goldworth Nursery, in 1826, covered about 100 square feet, and had more than 100 corymbs of bloom. Some of the corymbs had more than 50 buds in a cluster, and the whole averaged about 30 in each corymb ; so that the amount of flower buds was about 3,000. The variety of colour produced by the buds at first opening was not less astonishing than their number. White, light blush, deeper blush, light red, darker red, scarlet, and purple flowers, all appeared in the same corymb, and the production of these seven colours at once is said to be the reason why this plant is called the ‘Seven Sisters Rose' This tree produced a shoot the same year which grew 18 feet in length in two or three weeks.” The plant here referred to by Loudon only survived about three or four years.
The Rose was known to Donn2 under the names of Rosa Roxburghii and Rosa Grevillii , and it was growing at Cambridge about the year 1845.
The "Seven Sisters Rose," which was once such a iavourite in our gardens, is now but rarely seen ; it appears to have been discarded in favour of later multiflora hybrids of more fashionable shades of colour, and also of the wild single type now so largely grown in the wild garden. Loudon considered the plant short-lived, and this may be another reason to account for its gradual disappearance.
In China it is also known as the “Seven Sisters Rose," but the Chinese ascribe the derivation of the name to the seven flowers which generally open at the same time on each corymb.
1 Vol. ii. p. 774 (1838).
2 Hort. Cant. ed. 13, p. 351 (1845).
Book  (1910)  Page(s) 261.  
 
Seven Sisters ('Grevillei'). See Russelliana ('Scarlet Grevillei'), [a different variety].
Magazine  (Jul 1908)  Page(s) 242, 246.  
 
p. 242: M. Takasima a cru devoir l’identifier [Crimson Rambler] avec le Rosier multiflore à grandes feuilles (R. multiflora platyphylla) figuré par Redouté. En cela, il s’est trompé. Le Rosier Sakoura-Ibara des jardins japonais est bien un Rosier multiflore, mais il n’est pas à comparer à l’arbuste qu’a figuré Redouté. Voici du reste la description qu’il en
donne : 
Le Rosa platyphylla désigné au Japon sous le nom de Sakoura-Ibara, littéralement Cerisier-Rosier, est un arbuste sarmenteux s’élevant à environ 3 mètres. On ne le rencontre pas à l'état sauvage; ses fleurs et ses feuilles ressemblent beaucoup à la variété n° 1, mais les fleurs sont plus grandes que celles de cette dernière et sont très doubles. Il y en a qui ont les fleurs rosées, d'autres à fleurs franchement roses, enfin certaines qui ont les fleurs rosées à l’épanouissement, deviennent d’un rose franc au bout de deux à trois jours. Les fleurs sont sans odeur. Fleurit en juin.
Sans la figure coloriée qui accompagne cette note, il serait difficile d’en faire état au point de vue d’une identification quel
conque. L’inflorescence thyrsoïde très fournie, les fleurs de même grandeur et de même coloris que Crimson Rambler
tranchent seules la difficulté ou tout au moins semblent la trancher. Le dessin est fait mi-partie « de chic » et mi-partie
d’après nature. Les feuilles ne présentent que cinq folioles, n’ont point les stipules ciliées ; les inflorescences etlesfleurs sont assez bien rendues.

p. 246: L’autre Rosier multiflore. peint par Redouté, non figuré ici, a été introduit en France par M. Noisette, en 1817. Il a
fleuri en 1819. Il l’a découvert dans le jardin d’un maraîcher qui Pavait obtenu de graines reçues du Japon et qui lui a cédé le pied tout entier. (Notes de Thory. Les Roses par Redouté.)
Website/Catalog  (1908)  Page(s) 19.  
 
Hardy Climbing Roses, including Ramblers...
Seeven Sisters. Crimson to white, and all intermediate shades; extra...Each .30, Per 10 2.00
Magazine  (Aug 1907)  Page(s) 314-315.  
 
[From "LES ROSIERS EN HIVER SOUS LES CIEUX DE LA COTE D’AZUR", by Nardy père, pp. 312-315]
....Nous voulons signaler à l’horticulture de la Côte d’Azur et en le lui recommandant en toute confiance, après des résultats de plusieurs années, un autre Rosier de très grands mérites, surtout comme porte-greffes, du moins sous les cieux du Midi. Sa vigueur est des plus grandes si ce n’est la plus grande que nous connaissions chez les Rosiers. Il y a quelque vingt ans bientôt, nous admirions des sujets de ce Rosier dans le superbe et richissime jardin public de l’Ecole polytechnique, à Lisbonne. Rappelons, en passant, que la création de ce jardin, l’un des plus remarquables de l’Europe méridionale, fut l’œuvre de notre savant et vieil ami, un Français, M. Jules Daveau, aujourd'hui Conservateur au Jardin botanique de Montpellier, et que le même jardin est, depuis plusieurs années, dirigé par un autre Français, également bon collègue et ami, M. H. Cayeux, un nom honorablement connu aussi dans l'horticulture mondiale.
Nous revenons au Rosier en question, remarqué dans le jardin portugais. Par uniques sujets, il était planté au pied des arbres bordant en double ligne une promenade ombragée par eux. A chaque Rosier avait été gardée une seule branche ou tige développée activement et forte, tige attachée au tronc de l’arbre. Arrivée sur lui à la hauteur du départ des branches formant la tête du dit arbre, cette tige avait reçu à sa sommité le greffage d’une vigoureuse variété de Rosier Thé. Et des floraisons continues pendaient sous la tête de l’arbre. Original et élégant effet. 
Ce Rosier, absolument inconnu pour nous, nous frappa par son extraordinaire vigueur et par ses aptitudes à faire un excellent porte-greffes pour les Rosiers en buisson. Notre ami, M. Jules Daveau, voulut bien nous gratifier à l’automne suivant de quelques branches de ce Rosier. Nous les avons bouturées à Hyères en plein air et en pleine terre et la reprise a été active et parfaite, comme l’est également ici celle des boutures du Rosier porte-greffes Indica major, du Thé Safrano et des autres variétés de diverses espèces ou races qui figurent sur la Cote d’Azur dans les plantations productrices en hiver de fleurs exportées.....
Avec le Rosier très méritant que nous vantons, nous tenons de M. Jules Daveau sur le même Rosier les indications botaniques ci-après. Le botaniste belge Crépin, un rhodologue qui fait autorité et auquel furent, de Lisbonne, en 1890, envoyé du dit Rosier de bons échantillons à déterminer, y reconnut une variété du Rosa multiflora de Thunberg et il la nomma platyphylla.
Nous ne voudrions oublier de dire que la floraison printanière de ce Rosier est superbe. Très multiple, elle s’épanouit brillante sur le vert foncé des grandes feuilles et en longs et larges bouquets de belles fleurs lilas vif à centre blanc. Est du plus grand effet le mélange sur un treillis ou sur une tonnelle, des fleurs du Rosier multiflore de Thunberg, variété platyphylla, avec celles des Rosiers Banks, blanc et jaune.
D’après le docte Index Kewensis, le Rosier multiflore de Thunberg est originaire de la Chine et du Japon. A Lisbonne où nous remarquions la variété que nous signalons, elle passait, en effet, pour avoir été importée du Japon.
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