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Roses, Clematis and Peonies
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'Duchesse de Vallombrosa' rose References
Magazine  (Nov 1897)  Page(s) 171.  
 
Duchesse de Vallombrosa (André Dunand, 76)
Magazine  (1888)  Page(s) 142.  
 
Duchesse de Vallonbrosa (Schwartz, 1875). Very light flesh color, changing to nearly white; a large well formed flower, a strong grower, and an excellent forcing plant.
Magazine  (1 Nov 1885)  Page(s) 170.  
 
Nécrologie: Joseph Schwartz
Parmi ses gains les plus méritants que l‘on trouve dans presque toutes les Roseraies... C'est la section des rosiers hybrides remontants, qui nous fournit le plus fort contingent, signalons:
Duchesse de Vallombrosa (1875)...
Book  (1885)  Page(s) 34.  
 
TRIBE ROSEÆ.
ROSA, Linn.; Rose.
Garden Varieties—
Duchesse de Vallombrosa; hybrid perpetual. Plant in Brisbane Botanic Garden.
Website/Catalog  (1885)  Page(s) 68.  
 
Hybrid Perpetual Roses
​​​​​​​Duchesse de Vallembrosa  Flesh colour, the base of the petals shaded with rose, very large and full, globular
Magazine  (1883)  Page(s) 10.  
 
Duchesse de Vallombrosa, Ex. H.P., Schwartz, 1875, Rose incarnat tendre, Vig.
Book  (1882)  Page(s) 10.  
 
Duchesse de Vallombrosa... Variété à cultiver pour les Expositions de fleurs. Hybride Perpétuel. Schwartz. 1875 Rose incarnat tendre. Fleur grande. Plante vigoureuse.
Book  (1881)  Page(s) 314.  
 
New Roses.
Again, in the autumn of 1875 and spring of 1876, we were met by a formidable array of novelties, and in giving the following list of the best, I am conscious of having dealt leniently with the merits, or rather demerits, of several.
Hybrid Perpetuals:
Duchesse de Vallombrosa, flesh, very good...
Magazine  (May 1880)  Page(s) 78.  
 
CORRESPONDANCE
Waltham-Cross, London N, le 13 avril 1880.
A Monsieur le Rédacteur en Chef du JOURNAL DES ROSES.
Mon cher Rédacteur,
J'ai lu la lettre très-amicale de M. André Dunand qui a paru dans le numéro d'avril du Journal des Roses, et je ne puis m'empêcher de donner mon témoignage sur les charges que M. Bennett fait peser sur M. Schwartz.
Je me suis rendu à Lyon, en 1872, et à cette époque j'ai vu chez M. Schwartz la rose qui porte maintenant le nom du Duchess of Edimburgh, que j'ai bien reconnue aussi deux ou trois ans après, quand M. Bennett l'a mise au commerce et livrée aux rosiéristes anglais.
J'ai vu aussi la variété Duchesse de Vallombrosa pour la première fois chez M. Schwartz, deux ou trois années après ma visite de 1872.
Dans mon voyage à Lyon, je consacre toujours beaucoup de temps à visiter l'intéressant établissement de M. Schwartz, que j'ai trouvé lui-même toujours très-actif en me montrant ses cultures; je ne puis donc pas croire que la variété Duchesse de Vallombrosa m'aurait échappé, si elle avait existé dans son jardin.
Cette rose est tout-à-fait distincte, et si M. Schwartz n'avait pas attiré mon attention sur les fleurs de cette variété, je crois que je l'aurais bien remarquée parce que rien ne m'était caché.
Comme M. André Dunand, je pense que M. Bennett a commis une erreur involontaire, et je crois réellement qu'il s'est trompé.
Les roses, sous le climat de Lyon, diffèrent beaucoup dans les mêmes variétés sous le climat anglais, j'en ai été souvent étonné.
Certainement M. Bennett, selon toute probabilité, a pu commettre une erreur dans les faits que je signale, mais d'un autre côté il n'en est pas exempt, puisque dans son catalogue de cette année il annonce que la rose thé Silène est identique avec la variété Goubault.
Permettez-moi de dire que je possède les sentiments les plus amicaux envers M. Bennett, mais les imputations qu'il a portées contre M. Schwartz peuvent être aussi trèssérieuses pour ses affaires commerciales; c'est pour ce motif que j'ai pensé qu'il était de mon devoir d'écrire ces lignes, relatives à cette affaire, et je crois avoir dit la vérité et rendu justice.
Agréez, mon cher Rédacteur, l'assurance de mes sentiments les plus distingués.
WILLIAM PAUL.
Magazine  (Apr 1880)  Page(s) 57-58.  
 
Monsieur le Rédacteur en chef du Journal des Roses,
Je lis dans le numéro du 1er mars du Journal des Roses, la réponse à ma lettre que vous avez bien voulu insérer dans le numéro 1er (4° année). Je n’opposerai pas le démenti au démenti, mais j'oppose la vérité aux allégations erronées que contient la lettre de M Henry Bennett ; je ne rétracte rien de ma première lettre et les faits se sont passés tels que je les ai cités. Je renouvelle de nouveau ma demande à M. Bennett de me donner l’autorisation de
publier la correspondance citée dans ma lettre du 15 novembre, pour prouver la vérité, et, aussitôt son autorisation reçue, la traduction que je possède sera revue par un traducteur juré près les tribunaux de notre ville pour qu’il ne puisse mettre en doute que ses phrases ont été dénaturées.
Veuillez, je vous prie, donner l’hospitalité à ces quelques lignes, dans votre plus prochain numéro, et recevoir l’expression de mes sentiments les plus distingués.
Joseph Schwartz, Rosiériste, 43, rue du Repos-Guillotière, à Lyon.

* *
M. André Dunand, ancien magistrat, 38, rue de la Part-Dieu, à Lyon, nous prie d’insérer au Journal des Roses la lettre
suivante, qu’il a adressée à M. Henry Bennett, à Stapleford (Angleterre) :
« Lyon, le 12 mars 1880.
MONSIEUR BENNETT,
« Quoique je n'aie pas l'honneur de vous connaître personnellement, M. Schwartz, mon ami, rosiériste à Lyon, m'a souvent parlé de vous d'une manière si élogieuse, qu'il m'était resté à votre égard l'impression la plus favorable. Je vous considérais comme un négociant d'une parfaite loyauté, aussi qu'elle n'a pas été ma surprise lorsque, par le Journal des Roses, j'ai appris que vous imputiez à M. Schwartz un fait d'indélicatesse qui n'est ni dans son caractère, ni dans ses sentiments et dont la fausseté m'a sauté aux yeux.
« Vous lui imputez, Monsieur, de vous avoir vendu, eu 1872, une rose mise trois ans plus tard au commerce, sous le nom de Duchesse de Vallombrosa, et de vous avoir livré une rose toute autre que celle précitée et connue sous le nom de Duchesse d'Edimbourg.
«La fausseté de cette allégation n'a pu pour moi être douteuse un seul instant, et je ne l'ai pas d'abord imputée à mauvaise foi, mais plutôt à erreur de votre part. « La rose Duchesse de Vallombrosa n'est pas un produit de M. Schwartz, mais c'est moi-même qui l'ai obtenue de semis, à Saint-Genix (Savoie), où je passe l'été.
« M. Schwartz étant venu me rendre visite dans l'été de 1873, fut frappé de la beauté de cette rose et m'en demanda des greffes que je lui donnais bien volontiers, en l'autorisant à la vendre comme produit de ses cultures.
« Il en a greffé la même année une vingtaine de pieds à ceil dormant que j'ai vu en fleurs, l'année suivante, dans son établissement; enfin, il la multiplia en 1874 et 1875; l'a exposée en 1875, ce qui lui a valu plusieurs récompenses, et l'a mis en vente le 1er novembre de cette dernière année.
«De ces faits que j'affirme sur l'honneur et uniquement pour rendre hommage à la vérité et que je serais prêt à affirmer par serment devant les magistrats, il résulte de la manière la plus péremptoire que M. Schwartz n'a pu, en 1872, vous vendre une rose dont il n'avait pas même alors connaissance, qui a fleuri dans ses jardins, pour la première fois en 1874, et qui n'a été livrée au commerce que l'année suivante.
«Ayant suivi, chez M. Schwartz, la culture et la multiplication de la rose Duchesse de Vallombrosa qui est mon produit, à moi, ayant été acteur ou témoin oculaire des faits que j'affirme, j'ai pensé qu'il était de mon devoir de les publier, non-seulement dans l'intérêt de l'honorabilité de M. Schwartz, mais de celle de tous les rosiéristes français auxquels la pratique que vous osez dénoncer est restée bien inconnue.
« J'ai l'honneur d'être. Monsieur, votre très-humble et très-obéissant serviteur.
ANDRE DUNAND.
Ancien magistrat, amateur rosiériste. »

Translation:
[In the letters to the editor, several relating to Duchesse de Vallombrosa, including the following from M. André Dunand:
Monsieur André Dunand...38, rue de la Part-Dieu, asked us to publish the following letter that he addressed to Mr. Henry Bennett, of Stapleford, England: [crude translation]
Lyon, 12 March 1880.
Mr. Bennett,
While I have not had the honor to know you personally, Monsieur Schwartz, my friend and rosarian from Lyon, has often spoken of you in a glowing manner, leaving a most favorable impression of you. I consider you an honest man, so imagine my surprise when I learned, in the Journal des roses, you imputed to Monsieur Schwarz an indelicate act which is not typical of his character...You impune him for having sold to you, in 1872, a rose put in commerce three years later under the name of Duchesse de Vallombrosa, and to have delivered to you another rose known under the name Duchesse d'Edinbourg.
The falsity of this allegation is not for a moment in doubt, and I don't impute any bad faith but rather an error on your part. The rose Duchesse de Vallembrosa is not Monsieur Schwarz's product, but rather my one that I obtained from seed in Saint-Genix (Savoie) where I spent the summer. Monsieur Schwartz, who paid me a visit in the summer of 1873, was struck by the beauty of this rose and asked me for grafts which I gave him voluntarily and authorized him to sell it like a product of his own cultivation....Monsieur Schwarz could not, in 1872, have sold you a rose that he had not yet become acquainted with, which flowered for the first time in his gardens in 1874, and that he didn't put into commerce until the following year....André Dunand, Magistrate, amateur rosarian.
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