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Roses, Clematis and Peonies
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Les produits odorants des Rosiers
(1889)  Page(s) 36-37.  
 
The petals labeled from Provins which one finds in the drugstores today come all from red roses cultivated in the vicinity of Paris, most f which are hybrid perpetuals, as often also from a rose of the same group, cultivated specially for this use in the department Var, and known as 'Cramoisi supérieur'.
(1889)  Page(s) 43.  
 
Other Teas have special fragrances ...melon (Elisabeth Barbenzien)...
(1889)  Page(s) 58.  
 
Jules Margottin, Rose à odeur très faible, a produit des variétés à odeur beacoup plus forte et plus agréable que la sienne, et que celle de l'autre parent, Fortune Besson, par exemple.
(1889)  Page(s) 43.  
 
Finally, some Tea roses possess a sweet fragrance, indefinable and for which we lack all comparative terms. Such is this beautiful variety with large blooms of atransparent yellow, a litlle salmonish, with lightly ruflled petals, that it is much cultivated in gardens, under the name of Gloire de Dijon.
(1889)  Page(s) 43.  
 
A certain number of Teas possesses a more refined fragrance, which is only from far similar to rose fragrance, but is closer to that of raspberry. ....Goubault....
(1889)  Page(s) 43.  
 
Other Teas have special fragrances ...violets (Isabelle Nabonnand)...
(1889)  Page(s) 103-104.  
 
[Describes first the invention of the "Attar of Roses" by the Princess Nour Djihan and her mother as a present to her husband, the Moghul Sultan Djihangir in 1612]
...at the time when Kaempfer visited the country in 1684, the distilleries of Shiraz where in full prosperity. "The roses of Shiraz, one says, are so particular, that they give at the destillation a fatty material similar to butter which is called Aettr Gyl [Attar Gûl = Fragrance of Rose]. This material has a price higher than gold, as no substance on earth possesses a fragrance more agreable and more sweet..."
...It was through the intermediary of the Turks, that the industry of essences came to Europe...The Barbary States became soon one of the most important centers of this industry, in particularly Tunis. It is from there, according to very credible tradition in Kazanlik, that the culture of Roses was brought to this town by a Turk, about two centuries ago. Also from the African coast, the industry passed to France and went on to acclimatise itself in Provence.
(1889)  Page(s) 116.  
 
The roses cultivated in Bulgaria are of two types, the red and the white, as they are called by the farmers. In reality, it is the red which is widely grown...The white rose, more vigorous, is only grown at the edges of the plantations, at the head of each row of roses...be it to mark the separation of the fields or to protect against passers-by through the offering of a rose of lesser value...the real rose for essence in Kazanlik is the red rose, Rosa damascena, and the flower used by the distillers is the same as our old Rose de Puteaux, today almost disappeared, but from which the perfumers of the region of Paris for so long retracted their rose water....we have received...blooming and living specimens of the roses cultivated in Kazanlik. The examination of these specimens leaves no room for doubt. The red rose of Kazanlik is a R. damascena, in a well-branched form; the white rose is R. alba.
(1889)  Page(s) 116.  
 
La Rose rouge forme un arbrisseau rameux de 5 é 6 pieds de haut, fleurissant en mai et quelquefois encore en novembre. Cette seconde floraison est insignificante au point de vue industriel, mais montre bien la tendance que présentent tous le descendants du R. centifolia à devenir remontants. Les branches, plus ou moins étalées, naissent de la base de l'axe aérien dès la seconde année, et entremêlent leurs divisions en un fourré très épais. Les jeunes pousses, au sortir de terre, et jusqu'à ce qu'elles aient atteint 20 centimètres de hauteur, sont d'un rouge intense. Les rameaux, sauf lorsqu'ils deviennent âges, sont couverts d'aiguillons bruns, droits, très rapprochés, qui peuvent atteindre jusqu'à 1 centimètre long.Les feuilles sont longues de 10 à 15 centimètres, et à sept folioles. Les stipules sont très larges, foliacées, vertes, prolongées en pointe aiguë. La nervure médiane est finement velue, et porte de nombreuses glandes pédicellées, très petites, mêlées aux poils. Les folioles, assez inégales, sont sessiles, elliptiques, non acuminées, dentées sur les bords, à dents aiguës non glanduleuses. La face supérieure est glabre; l'inférieure est finement pubescente au niveau des nervures. La couleur est d'un vert clair et france en dessus, glauque et terne en dessous. La pétiole porte quelques aiguillons recourbés et se montre couvert, de même que les grosses nervures, de poils glanduleux brunâtres et de petite taille. L'odeur du limbe froissé est à peu près nulle. Les fleurs sont groupées en cymes bi ou triflores. On compte en moyenne sept fleurs par branche, et dans les bonnes années on en a vu jusqu'à treize. Elles sont semi-doubles et leur diamètre ne dépasse guère, en plein épanoissement, 4 ou 5 centimètres. Les pédicelles floraux sont longs et grêles (4 centimètres=: ils sont hérissés de nombreux aiguillons d'une grande finesse, entremêeles de soies glanduleuses qui leur donnent, au toucher, une certaine viscosité. Le recéptacle petit, presque conique et se confondant graduellement avec le Pédicelle, est lui-même très glanduleux. Les sépales sont très aigus et peuvent atteindre jusqu'à 3 centimètres de longueur. Les bords des deux sépales extérieurs et le bord extérieur du sépale mi-intérieur, mi-extérieur dans la préfloraison, sont pourvus d'un assez grand nombre de languettes trè fines et très longues: leur dos est fortement hispido-glanduleux. Les deux sépales et la moitié de sépale cachés dans la préfloraison, sont simplement tomenteux. La face interne de ses cinq sépales est couverte, versleur partie basilaire, large et excavée, d'une fine pubescence pàle. Les pétales sont orbiculés,d'un beau rose, presque rouge dans le bouton, devenant plus pâle après l'épanoissement. Ils sont minces, non luisants, mais non veloutés: l'onglet d'un blanc pur qu'ils montrent à leur base, présente un léger renflement jaunâtre à son origine, et va en s'atténuant graduellement comme coloris avec le reste du pétale. Leur odeur est exquise, très voisine de celle du R. centifolia, très homogène, mais très discrete. Elle est surtout marquée dans les instants qui suivent l'épanoissemnet du bouton. Les étamines sont peu nombreuses. Les styles sont faiblement exerts, et libres dans toute leur étendue. Le fruit est d'un rouge cerise.
(1889)  Page(s) 43.  
 
A certain number of Teas possesses a more refined fragrance, which is only from far similar to rose fragrance, but is closer to that of raspberry. ....Madame Bravy....
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