Claude Richardier (December 14, 1872 Veauche, Saône-et-Loire - November 10, 1933 Vénissieux), succeeded André Gamon in 1912. His son Francisque Richardier (b. April 4, 1905) followed him in 1932.
[From "Bulletin Municipal de Lyon", 1903, p. 96:] Richardier, Claude, fleuriste, av. des Ponts, 311.
[From Les Amis des Roses, January-February 1926, p. 3:] M. C. Richardier a succédé à M. Andre Gamon en 1912, 135, route de Vénissieux, puis transféra son Etablissement 23, rue Ernest-Renan, à Vénissieux-les-Lyon (Rhône) le 1er septembre 1924. Comme principale récompense nous citerons un diplôme de prix d'honneur à l'Exposition Internationale de Lyon en 1914.
[From Lyon horticole, July 1929, p. 107:] Richardier (C.), 23, rue Ernest-Renan, Vénissieux
[From Les Amis des Roses, 1931, p. 204:] Richardier (Claude), O. S, rosiériste, successeur de Gamon, 23, rue Ernest-Renan, à Vénissieux-les-Lyon (Rhône).
[From Lyon Horticole, December 1933, p. 266:] On lira après cette chronique la notice nécrologique que M. J.-B. Croibier consacre à notre regretté collègue, Claude Richardier, rosiériste, membre de la Société d'Horticulture depuis 1910. Ses obsèques ont eu lieu le 10 novembre.
[From Les Amis des Roses, November-December 1933, p. 96:] Né le 14 décembre 1872, à Veauche (Loire), Claude Richardier abandonna de bonne heure le foyer paternel pour se vouer à l'horticulture. Il fît son apprentissage à Saint-Etienne, où il travailla dans plusieurs établissements horticoles. Devenu ouvrier il aspire à se spécialiser sur la culture du Rosier. A cet effet, il vint à Lyon et, après quelques années de travail passées au milieu des roses, il entra comme ouvrier dans l'Etablissement P. GUILLOT, rosiériste à Lyon-Monplaisir....En 1912, il quitta la Maison P. GUILLOT et succéda à A. GAMON, qui venait de mourir....Mobilisé dès les premiers jours [de 1914], il quitta son foyer et son commerce, qu'il ne put reprendre qu'en 1919. Pendant cette longue absence, sa femme
occupa courageusement sa place et continua à assurer l'entretien de ses cultures. Energique, laborieuse et économe, elle a vaincu les difficultés de la cruelle tourmente....En 1931, il fut promu Officier du Mérite agricole, puis, désirant profiter d'un repos bien mérité, il céda, en 1932, son commerce à son fils.
[From Modern Roses 10, p. 730:] C. Richardier, Tassin-la-Demi-Lune, France.
[From Créateurs de roses, by Nathalie Ferrand, 2015, p. 118:] Généalogie Famille Meilland