Book  (1936)  Page(s) 706.  
 
Tige faible, R. à (Alpina) Vilmorin ? ; red, weak canes

Book  (1899)  Page(s) 15.  
 
à tige faible, alpina, Vilmorin, rouge, dans le Rosetum de Desportes

Book  (1829)  Page(s) Vol. I, tab 42.  Includes photo(s).
 
ROSA ALPINA (DEBILIS).

[Same text as in the 1824 edition except for some modifications of punctuation, and following phrases and sentences:]

...Les divisions du limbe, entières, linéaires, ont parfois le sommet spatulé.
....Nous l'avons remarquée, pour la première fois, dans les cultures de M. VILMORIN, où elle a été vraisemblablement produite par la graine d'une variété du rosier des Alpes. C'est un nouvel exemple de la faculté que paraît avoir ce rosier pour se reproduire sous grand nombre de formes différentes.

Book  (1824)  Page(s) Vol. III, p. 15-16, tab 6.  Includes photo(s).
 
ROSA ALPINA
debilis,

R. germinibus ovalis pedunculisque hispidis; foliolis glabris, parvulis, duplicato-serratis ; floribus subgeminatis ; caule inermi, debili, subprostrato (N.). [L.C. Noisette]
R. Alpina debilis. THY. Prod. p. 61, var. θ.
Voyez cet ouvrage, tome 2, p. 56.

LE ROSIER DES ALPES
à tiges faibles.

DESCRIPTION.
C'est un arbrisseau à tiges glabres, rougeâtres, déliées, faibles, entièrement dépourvues d'aiguillons. Ses feuilles se composent de sept, rarement de neuf folioles, plus petites que celles de variétés connues de ce rosier, ovales, vertes sur les deux s, doublement dentées. Elles sont portées par des pétioles légèrement hispides, ayant à leur base des stipules larges, dilatées, denticulées en leur bord, bifides au sommet. Les fleurs sont solitaires ou disposées par deux ou trois à l'extrémité des ramuscules qui croissent le long des branches principales; elles sont supportées par des pédoncules un peu hispides, droits, munis de bractées à leur base. Le tube du calice, également bispide, est ovoïde. Les divisions du limbe, entières, linéaires, sont, parfois spatulées au sommet. Corolle de cinq pétales, grands, d'un rouge-vif, un peu blancs à leur base, échancrés en coeur au sommet. Styles pubescens.

OBSERVATIONS.
On ne doit considérer cette variété que comme une dégénération du R. Alpina vulgaris, dont elle ne diffère que par ses tiges débiles, élancées et presque couchées ; par ses folioles plus petites et ses pétales plus grands. Nous l'avons remarquée, il y a quelques années, dans l'un des bosquets du beau jardin de M. VILLEMORIN, où elle a été vraisemblablement produite par la graine d'une variété du Rosier des Alpes. C'est un nouvel exemple du don que ce Rosier paraît avoir reçu de se reproduire sous tant de formes différentes.